Ragréage sur sol en terre cuite
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Question Forum Sols et Carrelages : Ragréage sur sol en terre cuite
Invité

Bonjour,
Je voudrai ragréer un sol qui est en carreau de terre cuite, celles-ci sont très abimées et pas récupérables, le tout posé sur un sol de mélange de chaux et terre battue.
Ma question est : Est-il possible de réaliser ce ragréage ? Et comment procéder ?
Merci.
Je voudrai ragréer un sol qui est en carreau de terre cuite, celles-ci sont très abimées et pas récupérables, le tout posé sur un sol de mélange de chaux et terre battue.
Ma question est : Est-il possible de réaliser ce ragréage ? Et comment procéder ?
Merci.
30 mai 2015 à 17:54
Réponse 1 d'un contributeur du forum
Ragréage sur sol en terre cuite
Bonjour.
Vous aviez posé une question similaire et à laquelle vous aviez eu des réponses.
Pour la consulter voir le lien ci-dessous :
Ragréer sur un sol en tomette ou en terre cuite
A suivre.
Cordialement.
Vous aviez posé une question similaire et à laquelle vous aviez eu des réponses.
Pour la consulter voir le lien ci-dessous :
Ragréer sur un sol en tomette ou en terre cuite
A suivre.
Cordialement.
30 mai 2015 à 18:44
Réponse 2 d'un contributeur du forum
Ragréage sur sol en terre cuite
Bonjour.
Je puis comprendre que vous vous trouviez dans une situation différente et que vous souhaitiez un autre son de "cloche"...
Il est toujours possible de faire un ragréage à condition que le support soit stable et sain.
En épaisseur mince, on a un enduit de lissage, de 3 à 10 mm d'épaisseur, c'est un enduit de ragréage et au dessus de 10 mm et jusqu'à 30 mm en général,possible, c'est un enduit de dressage.
Il est souhaitable pour un enduit auto-lissant qu'il soit fibré.
Bien respecter le mélange indiqué, l'utilisation d'un platoir de chapiste ou "flamand" est souhaitable.
Le sol fini peut être laissé nu ou non.
S'il y a revêtement, il faut attendre de 3 à 24 h suivant le produit à installer..
Cordialement.
Je puis comprendre que vous vous trouviez dans une situation différente et que vous souhaitiez un autre son de "cloche"...
Il est toujours possible de faire un ragréage à condition que le support soit stable et sain.
En épaisseur mince, on a un enduit de lissage, de 3 à 10 mm d'épaisseur, c'est un enduit de ragréage et au dessus de 10 mm et jusqu'à 30 mm en général,possible, c'est un enduit de dressage.
Il est souhaitable pour un enduit auto-lissant qu'il soit fibré.
Bien respecter le mélange indiqué, l'utilisation d'un platoir de chapiste ou "flamand" est souhaitable.
Le sol fini peut être laissé nu ou non.
S'il y a revêtement, il faut attendre de 3 à 24 h suivant le produit à installer..
Cordialement.
31 mai 2015 à 08:36
Réponse 3 d'un contributeur du forum
Ragréage sur sol en terre cuite
Bonjour,
Puisque la question du ragréage refait surface, voilà quelques informations à ce sujet.
Tout d’abord, d’importantes questions sont à se poser :
Quid des éventuelles remontées d’humidité.
Quid de la tenue d’un mortier composé de terre et de chaux (résistance mécanique, mouvement structurel, etc.).
Quid du comportement d’un ragréage adhérent à ce type de support (localisation des locaux intérieurs, cuisine privative ou pas, chambre, à l’étage ou au rez de chaussée ?).
Une fois que toutes ces questions ont été réglées et que les travaux peuvent être envisagés, alors là la technique de pose d’un ragréage pourra être réalisée.
Sinon, une solution parmi de nombreuses, pourra être la pose d’un mortier de chape en pose désolidarisée (à prendre en compte les hauteurs, etc.).
La réussite de l’application du ragréage a quelques exigences principales : le support doit être dur, stable, sain, adhérent, d’une porosité conforme et propre. Toutes ces conditions doivent être remplies.
Par exemple, si les tomettes "bougent", l’enduit qui pourrait être appliqué au-dessus "suivra le mouvement" et se fissurera.
Vous n’évoquez pas la hauteur souhaitée pour l’application de ce ragréage.
Alma1 vous a donné les familles de produit.
L’enduit doit être choisi entre autre en fonction de ce critère.
Son application doit être faite, avec l’outil approprié (généralement une « flamande »), en suivant les recommandations et préconisations données par le fabricant et figurant sur les emballages (dosage, mélange, temps d’utilisation, délai de recouvrement, etc.).
Voilà résumé en quelques mots cette opération.
Il n’est pas abordé la question du « savoir-faire » ici qui n’est pas négligeable.
Puisque la question du ragréage refait surface, voilà quelques informations à ce sujet.
Tout d’abord, d’importantes questions sont à se poser :
Quid des éventuelles remontées d’humidité.
Quid de la tenue d’un mortier composé de terre et de chaux (résistance mécanique, mouvement structurel, etc.).
Quid du comportement d’un ragréage adhérent à ce type de support (localisation des locaux intérieurs, cuisine privative ou pas, chambre, à l’étage ou au rez de chaussée ?).
Une fois que toutes ces questions ont été réglées et que les travaux peuvent être envisagés, alors là la technique de pose d’un ragréage pourra être réalisée.
Sinon, une solution parmi de nombreuses, pourra être la pose d’un mortier de chape en pose désolidarisée (à prendre en compte les hauteurs, etc.).
La réussite de l’application du ragréage a quelques exigences principales : le support doit être dur, stable, sain, adhérent, d’une porosité conforme et propre. Toutes ces conditions doivent être remplies.
Par exemple, si les tomettes "bougent", l’enduit qui pourrait être appliqué au-dessus "suivra le mouvement" et se fissurera.
Vous n’évoquez pas la hauteur souhaitée pour l’application de ce ragréage.
Alma1 vous a donné les familles de produit.
L’enduit doit être choisi entre autre en fonction de ce critère.
Son application doit être faite, avec l’outil approprié (généralement une « flamande »), en suivant les recommandations et préconisations données par le fabricant et figurant sur les emballages (dosage, mélange, temps d’utilisation, délai de recouvrement, etc.).
Voilà résumé en quelques mots cette opération.
Il n’est pas abordé la question du « savoir-faire » ici qui n’est pas négligeable.
05 juin 2015 à 17:54