Précision à ma proposition (4) : elle ne concerne que le nettoyage.
Mais ce que j'ai oublié de vous demander : vous voulez aussi poncer, lisser, cirer ?
Après nettoyage, elles ne sont pas assez belles au naturel, ces barres ? C'est dommage, non ?

Merci SD ! Enchanté d'avoir pu vous glisser un "tip", vous n'êtes pas avare vous non plus ; -)
Oui, pour le chant, s'il y en a un, c'est mieux de faire comme vous dites, surtout que c'est facile à refaire. Cordialement.

Bonjour Fabien,
Sans problème.
Vous pouvez d'ailleurs soit les visser en même temps (en leur faisant un avant trou) soit visser le premier et rapporter le 2ème sur le premier, selon ce qui vous simplifie la vie.
Si vous aviez un négoce de bois près de chez vous (pages jaunes) vous pourriez vous faire tailler directement des lambourdes de 60, peut-être pour pas plus cher.
Si vous êtes équipé, vous pouvez aussi refendre à la circulaire des chevrons 60x80 (attention les doigts !).

Bonjour BG,
Meilleurs vœux !
Comme promis, je vous transmets quelques éléments de réflexion.
Au vu de ce que vous décrivez, l'analyse de mon collègue expert dans ce domaine est très pessimiste. Entre parenthèse, il ne lui semble d'ailleurs pas que Idéal Standard soit considéré comme un constructeur dans ce domaine, sa fabrication se fait peut-être en RPC ou autres lieux "décentralisés". Par ailleurs il lui semble normal que le matériel Viessmann, installé dans les conditions que vous décrivez, donne de semblables résultats, le principe étant le même. Je précise que cet ingénieur est indépendant, il ne travaille pas pour une firme particulière.
Il semblerait donc que vous vous soyez fait abuser, j'en avais moi-même le pressentiment dès le départ. Acheter un système de chauffage solaire, et s'apercevoir après installation qu'il ne supporte pas le soleil, c'est ubuesque. De surcroit s'entendre dire que la régulation du constructeur ne permet ensuite aucune adaptation pour résoudre le problème, et enfin... s'entendre annoncer des prix de "mise en conformité" astronomiques, simplement pour que le soleil puisse faire marcher votre installation sans transformer le fluide en caramel... il y a de quoi tomber à la renverse.
Je ne veux pas vous influencer, BG, car vous m'avez l'air parti avec l'intention de prendre la caisse à outils et le courage à 2 mains pour refaire ce que d'autres n'ont pas fait, alors que vous les avez payés pour cela !
Pourtant, obligation de résultat, tromperie sur la qualité d'un service... votre problème pourrait être juridiquement pris sous divers aspects, sous réserve, bien évidemment, que votre installation ait fait l'objet d'une commande tout à fait officielle, et que ça ne soit pas un "arrangement" avec un installateur.
Vous pouvez faire un détour par le forum litiges (regardez par exemple, entre autres, en 660). Vous pourriez y reformuler votre problème en donnant tous les éléments de la commande (par exemple indiquez bien s'il y a des clauses du type "le chauffe-eau devra être vidangé pendant la journée, et il devra être réalimenté au clair de lune, durant les 4 mois d'été"). MD, un remarquable (et pédagogue) spécialiste du droit (que je salue cordialement s'il passe par là) pourra vous répondre pertinemment.
J'ajoute que j'ai eu confirmation de 2 choses
1/ vous n'êtes pas le seul "pigeon" (pardon, ce n'est pas péjoratif pour vous, car vous êtes comme moi, vous faites confiance à ceux qui se disent professionnels). En ce moment, aides et subventions à la clé, les arnaques fleurissent en hiver ! Au moins, votre témoignage et le temps que vous avez passé ici pour le donner en détail, serviront j'en suis certain à ceux qui vont investir dans ce domaine. Ils se feront détailler par écrit à la commande, que le système est prévu pour fonctionner, sans option inattendue, par froid et chaleur extrêmes !)
2/ il y a des systèmes qui marchent. Sans option. Dès l'installation. Je ne peux pas donner ici le nom, car je me ferais suspecter (et Bricovideo avec moi) de vouloir tuer la concurrence et de toucher des dividendes. Le principe est, en gros, de ne RIEN faire passer dans les tubes dès que la température sort d'une certaine fourchette de températures. Les tubes font tranquillement la sieste au soleil, ou ils somnolent au chaud l'hiver. La circuiterie et sa régulation sont prévues pour ça, sans supplément de prix. Pas de store ni de bâche sur le toit, ni de couverture chauffante, mais un panneau solaire, rien que ça ! Entre parenthèses (ce n'est pas valable pour vous car vous avez ECS et chauffage) environ 4m2 de panneaux bien pensés suffisent pour l'ECS. Vous êtes peut-être surdimensionné, mais comment le constructeur gère-t-il cette surdimension, autrement que financièrement ?
Voilà, BG. Je ne vous ai peut-être pas remonté le moral, mais au moins vous avez un avis précis. A vous de "jouer", si l'on peut dire (c'est encore mon humour un peu noir). Bon courage. Cordialement.

Bonjour,
Pourquoi pas ? Vous ne dites pas ce qu'il y a au dessus (le plafond actuel), et quel type de plafond vous voudriez faire ?

Bonjour,
Oui, ça marche bien, j'en utilise pour les semis sous serre.
Selon les légumes que vous planterez, faites gaffe, les racines sont très insidieuses ; -)
Il existe de la colle spéciale polystyrène, ça marche.
Vous êtes en rez-de chaussée ou sur une terrasse d'étage ? Pour arroser tout ça, il va falloir gérer la quantité d'eau ; -)
Cordialement.

Bonjour,
Passez en pharmacie prendre un petit flacon d'eau oxygénée à 30-35 volumes et faites un essai discret en imbibant une éponge. Prenez des gants. Quand les bulles ne pétillent plus, bous pouvez rincer avec une éponge humide. Rien de toxique, je vous rassure, Marie. Nos chères compagnes en utilisent même pour se bidouiller les cheveux ; -)
Si ça marche, passez dans un magasin de piscines, et prenez un bidon de 5 litres de peroxyde d'hydrogène (c'est la même chose, en gros c'est moins purifié, donc moins cher).
Tenez nous au courant, ça peut aider d'autres internautes ; -)
Cordialement.

Bonjour,
Je ne comprends pas. Si vous aménagez, vous allez isoler, y compris autour de vos Velux, et le courant d'air va aérer vos pièces (c'est très bien !), mais il sera au dessous de votre isolation et donc de votre écran bitumé ?
Pour le problème de votre écran bitumé, regardez par exemple Q1239 du forum toitures.

Bonjour la Réunion ! Envoyez-nous un peu de chaleur, svp ; -)
Le problème que vous avez est classique. Le vent aidant, et l'âge aussi, les fixations prennent du jeu, et les joints agonisent.
Le mieux est de changer les joints caoutchouc si vous trouvez quelque chose de compatible. Pas utile de changer les vis si elles mordent encore suffisamment sur les pièces de fixation. Si les trous se sont trop ovalisés, vous pouvez mettre des rondelles galva plus larges pour comprimer le joint caoutchouc.
Votre idée de produit type " Rubson mastic couverture" est bonne aussi, il faut d'abord resserre la vis (à condition qu'elle ne passe pas à travers !) et mettre un bon petit chapeau de mastic au dessus après avoir brossé un peu. C'est du bricolage, mais c'est assez durable finalement !
Cordialement.

Ah oui, c'est un bon filon, Marie, votre plastique liquide ! Merci.
A propos de solvants, avez-vous lu l'incontournable ouvrage de Madame Stéphane HOREL : La grande invasion (Éditions du moment). C'est la "J. P. Oliva" de l'intoxication au quotidien ; -)

Bonjour,
Comme cela a été expliqué plusieurs fois dans ce forum, un isolant mince, s'il est votre seul isolant, vous donnera une isolation... mince !
Seuls les vendeurs ne partagent pas ce point de vue ; -)
D'ailleurs, pour qu'il soit efficace, il a besoin d'une lame d'air de chaque côté.
Ce point n'est généralement pas affiché, et il faut aller le chercher au fond de la documentation (quand elle existe). Dès lors qu'on respecte cette exigence (air + isolant mince + air) il n'est plus tout à fait mince ; -)
Ceci étant (re) dit, l'isolant mince n'a pas besoin de pare-vapeur, puisqu'il est lui-même complètement imperméable à la vapeur.
Vous pourriez, en faisant une recherche dans ce forum à partir du mot "mince", trouver un certain nombre d'éléments qui vous intéresseraient peut-être.
Cordialement.

Bonjour Lucas,
"je ne sais pas si un drainage a été posé" -> vous voulez dire que vous ne savez pas ce qu'il y a sous la dalle de votre terrasse ?
Quand vous disiez au départ : "Mon assureur a fait venir le maçon qui a construit la maison. Ce dernier assure avoir fait tout le nécessaire pour éviter des remontées d'humidité par capillarité. ", avez-vous pu obtenir du maçon le détail de tout ce "nécessaire" ?
Vous ne m'avez pas dit si vous aviez une condensation (ou givrage) important sous la dalle du VS ? ceci pour éliminer la piste du VS. D'autant plus que les piliers victimes également de remontées, n'ont rien avoir avec le VS.
Ensuite, pour savoir si les remontées viennent du fond ou de la partie des murs en contact avec votre terrasse, il faut savoir ce que votre maçon a fait, ce fameux "nécessaire", pour lui, qu'est-ce que c'est au juste ?
En gros, s'il n'y a ni hérisson sous la dalle, ni drainage au dessous, ni protection entre le mur et la terre, le phénomène que vous avez vu apparaitre quelques mois après votre pose de carrelage, serait donc apparu de toutes façons.
A suivre... ; -)

Bonjour,
EN premier lieu, pour l'humidité, moins cher que l'isolation : la ventilation.
Comment est ventilé ce sous-sol humide ? En quel matériau est-il (sol, murs, dalle)?

Bonjour,
Oui, il s'agit d'un problème (trop classique) d'imperméabilité de votre pare-pluie.
Vous avez une bâche (étanche à la vapeur d'eau) en écran pare-pluie, et au dessus, une seule rangée de liteaux 27x40 et des tuiles ?
Quelle laine de verre avez-vous au-dessous ? (épaisseur, pare-vapeur, manière dont elle est fixée et comment sont jointées les bandes entre elles)?
Qu'avez-vous comme pièces juste au dessous ? Quel type de ventilation ?
Indispensable pour vous répondre. Cordialement.

Bonjour SD,
Le placo, je ne vous fais pas de schéma, vous connaissez mieux que moi.
Alors pour le fermacell, je vous cite Sainbiose, il est peut-être sponsorisé comme vous dites, mais ça résume ce que j'en ai expérimenté :
"Panneaux de parement gypse cellulose
Le Fermacell est une plaque de structure fibreuse, constituée de gypse naturel (80%) et de fibres de cellulose (20%). Cette composition originale lui confère des qualités de régulation hygrométrique, une dureté et une rigidité exceptionnelle (20kg sur 1 vis, 40kg avec cheville), une bonne résistance au feu (incombustible) et à l'humidité (hydrofuge). La densité du Fermacell permet la création de constructions phoniques performantes. Ce panneau est facile à travailler : il se coupe, se scie, se rabote, se cloue, se visse, s'agrafe, se colle, se peint, se tapisse ou se carrelle."
Donc si vous avez besoin de réguler l'humidité (si vous voulez par exemple "dresser" un mur pierre/chaux sans le "tuer", ou pour une cloison de salle de bains), si vous avez besoin d'accrocher des choses à votre cloison, ou d'isoler phoniquement, à mon avis il n'y a pas photo.
C'est un peu plus cher évidemment, mais je trouve personnellement plus agréable à travailler parce-que c'est moins fragile (ça part moins en brioche !).
Cordialement.

Bonjour,
Génial, c'est ce qui s'appelle le cloisonnement des tâches !
Quelle distance avez-vous entre la tuile douille et le PVC ?

J'ai proposé un mode d'emploi pour le remplacement des roulements et du joint spi, valable pour les séries de lave-linge BOSCH WFF1200. Il se trouve ci-dessous, à la question 10706. Cordialement.

PS : j'ajoute, en complément à ma contribution ci-dessus, que le mode opératoire que je propose est a priori valable pour tous les modèles BOSCH WFF1200. Ce type de lave-linge est à chargement frontal.

Bonjour,
J'espère pour vous qu'il s'agit plutôt de millimètres ; -) Sinon, cela relèverait plutôt d'un exorciste ; -) Ceci dit, plus sérieusement, le débat se poursuit dans le forum litiges.

Bonjour,
Vous pouvez peut-être essayer un truc désespéré (je l'ai fait une fois), si les surfaces externes ne sont pas encore HS. Par la tranche, avec une seringue ou autre chose, essayer "d'imbiber" un peu de colle à bois (une fois gonflé, c'est très poreux ce matériau magique). Ensuite mettre une plaque très rigide de chaque côté, bien surfacée (une chute de stratifié par exemple) et serrer très fort avec un ou des serre-joints pendant le séchage. Bonne chance !

Bonjour,
Ce problème a déjà été évoqué sous différentes formes dans le forum plomberie.
Vous pourriez y faire une recherche en tapant par exemple le mot "boucle" dans la fenêtre de recherche.
Je ne connaissais pas cette règlementation sur les "stop douche".
Pouvez-vous en dire davantage, internaute (2) ? Où figure cette règlementation, et en quoi le stop douche est-il néfaste ? Merci de vos précisions.

Bonjour Jean-Marc,
Si vous tapez simplement le mot cintrer dans la fenêtre de recherche, vous allez avoir 9 résultats, dont la réponse N°312 qui devrait vous intéresser particulièrement.

Bonjour à vous,
Pour répondre à votre dernière question, je pense que des trous dans les murs VS ne suffiront probablement pas, compte-tenu de ce que vous dites plus haut "oui, les accès au VS sont dégagés (j'en ai même rajouté un pour favoriser encore plus le courant d'air)". Est-il humide ? Quand il fait très froid, avez-vous de la condensation, voire du givre à la partie inférieure de sa dalle ? Si c'est une hypothèse "remontée dans les murs par capillarité", quelques trous ne résoudront rien à mon avis. Affaire à suivre...
Je voudrais repartir de l'hypothèse de SD en (6): "soit votre carreleur a neutralisé le drain par des actes inadaptés, mais je ne comprends pas ni pourquoi ni comment, soit il s'agit d'une coïncidence, et cette "révélation" d'humidité aurait eu lieu même sans carrelage. "
C'est effectivement ça le problème : les échelles de temps sont courtes. En gros 2 ans depuis la construction de la dalle, rien ne se passait encore, et 6 mois après le carrelage (ou, autre manière de voir, 2 ans 1/2 après la construction ?) l'humidité apparait. J'ai vu un cas de drainage insuffisant, où l'humidité est remontée dans les murs en agglo plus de 10 ans après la construction...
Votre terrasse est tout de même assez large. Savez-vous si sur toute sa surface, jusqu'à l'extérieur côté terre, un drainage et un hérisson ont été posés ? Si non, l'humidité extérieure aurait pu, lentement, finir par migrer jusqu'aux murs, et le carrelage ne serait qu'une coïncidence.
Savez-vous comment a été faite la dalle (type de ciment et dosage ?) L'hypothèse du carrelage "asphyxiant" n'est valable que si la dalle était un peu "respirante". En gros si vous faites un carrelage en carreaux standards collés sur une dalle de chaux, vous allez la tuer. Alors que sur du béton, c'est (en gros) étanche sur étanche... sauf si votre béton avait des caractéristiques qui lui permettaient de gérer un peu l'humidité.
Ce qui me surprend, c'est les piliers. Ils sont coulés dans la dalle, eux, et ce n'est pas 1cm de carreaux qui a changé quelque chose ? Ils prennent l'humidité sous la dalle ?
A suivre. Cordialement à vous.

Bonjour,
Oui... et non. Il faut voir le contexte : allée de jardin ou butte de terre de 10 m de haut dans une pente à 60° ?

Bonjour,
S'il n'y a pas d'urgence, je laisserais sécher, pour voir si le problème vient du froid, ou éventuellement du toit : "il est possible qu'il ait coulé un peu". Dans ce dernier cas, la mousse risquerait de brouiller les pistes ; -)
Ensuite, grâce à la scie à guichet de SD (merci !) prise en Q1662, je découperais un morceau dans cet angle pour voir ce qui se passe vraiment dessous. C'est facile à refaire, en glissant ensuite un bout de lambourde à la jonction de la "rustine", pour visser les bords des morceaux en raccord.
Bonne année à vous.

Bonjour à tous,
Faute d'informations,... et le tas de linge sale se faisant menaçant, je me suis jeté à l'eau, au risque de me faire essorer ; -)
J'ai été grandement aidé par la vue éclatée du site Bosch (merci à eux, le matériel est fiable, et en plus ils ont quand même pensé à ceux qui réparent !) dont je donne le lien plus bas.
Matériel pour ne pas galérer :
- Un tournevis cruciforme, une clé à pipe de 10
- Un extracteur de roulement (préférable)
- Une clé à cliquet de 13 la moins "haute" possible (passage max. de l'ordre de 5cm).
- 20 cm de tige filetée de 10-12 mm avec écrous et assortiment de rondelles : 1 rondelle épaisse de diam. extérieur 20 mm (min)à 25mm (max)+ 1 rondelle épaisse de diam. extérieur mini 40 à 50mm (ou une plaque percée d'au moins 50mm de côté)
Les numéros d'étapes correspondent aux numéros repères sur les photos
Procédure de démontage :
1- démonter du panneau arrière le tuyau d'arrivée d'eau, et le tuyau de vidange
2- démonter le panneau arrière
3- démonter la traverse horizontale
4- démonter les 2 vis de fixation du moteur, clé de 13, (une en haut à gauche accessible de face, une en haut à droite à prendre accessible depuis l'intérieur de la machine, avec la clé à pipe ça passe !), enlever la courroie, couper l'attache nylon de maintien des fils du moteur pour lui donner du mou, sortir le moteur de son axe de fixation et le poser sous le tambour (sans le débrancher)
5- démonter la vis centrale du croisillon de support, enlever la grande poulie.
6- débloquer les 3 vis de 10 qui maintiennent le croisillon sur la face arrière, sans les enlever totalement pour le moment. Prendre 3 appuis extérieurs sur la croix de support et 1 appui central sur l'axe, avec un extracteur de roulements, et "décoller" la croix de support de l'axe de rotation.
7- enlever les 3 vis de fixation du croisillon sur l'extérieur du tambour. Il faut une clé de 13 à cliquet assez plate, car il n'y a pas beaucoup de passage, surtout pour celle qui se trouve en haut. Mais en tirant sur les suspensions de la cuve, c'est possible de dégager assez de passage pour cette opération. Et il faut forcer jusqu'au bout car ces vis sont montées avec frein filet. Il est sage de placer une cale sous le tambour (bloc de polystyrène par exemple, pour ne pas trop "tirer" sur les suspensions
8- Enlever complètement les 3 vis de 10 (voir 6). Le croisillon s'arrache facilement.
9- Enlever le joint à lèvres (joint spi) s'il est resté collé contre la cuve.
10- Nettoyer sans rayer la surface d'appui du joint spi contre la cuve, ainsi que l'axe du tambour. En profiter pour nettoyer le coffret plastique de raccordement du pressostat (10b). Il suffit de le déclipser par le bas. Le joint caoutchouc de traversée de cuve peut être sorti pour faciliter ce nettoyage.
11- Remplacement des roulements :
Il ne faut pas taper sur les roulements, ni au démontage, ni surtout au remontage (ils n'aiment pas du tout !), on va donc "ruser" avec de la tige filetée.
C'est prudent de noter au départ la cote d'enfoncement des roulements à l'intérieur du croisillon, ça servira à avoir l'indication de leur repositionnement correct au remontage (pour ne pas forcer au-delà des limites !). J'ai constaté pour ma part un enfoncement de 2mm par rapport à l'affleurement du croisillon pour le petit roulement, et 12mm pour le grand.
- Passer la tige filetée avec un écrou et une rondelle de 20-25mm à travers le trou du grand roulement, pour qu'elle vienne en appui intérieur sur le petit roulement. Sur la face extérieure du croisillon (côté petit roulement) mettre une rondelle ou une plaque percée en appui, et visser l'écrou. En forçant, le roulement va se décoller de 2mm, et là, il viendra buter contre la rondelle. Il faudra donc desserrer un peu, ajouter une entretoise (une grosse clé à molette écartée, par exemple) ou des petites cales, pour écarter la plaque et laisser le passage du roulement-
- Le petit roulement sorti, faire pareil de l'autre côté pour le grand roulement. Il y a maintenant davantage de passage on peut donc mettre une plus grande rondelle à l'intérieur. Dès que le grand roulement est sorti de 12mm et qu'il vient en appui contre la plaque, il est possible de mettre des cales comme indiqué pour le 1er, etc.
- Bien nettoyer les cavités, les graisser un peu. Mettre un moment les roulements neufs au frigo, et le croisillon à la chaleur (ça va aider un peu !). Positionner les roulements sur le croisillon, bien parallèles aux cavités. Mettre la tige filetée, les anciens roulements de leurs côtés respectifs à l'extérieur contre les nouveaux (ça fera un appui bien stable), puis les rondelles, et serrer lentement l'ensemble avec les écrous en vérifiant que l'introduction se fait parfaitement dans l'axe (c'est très important !). Dans la fin de course, éventuellement retirer les anciens roulements (pour qu'ils ne se coincent pas dans les cavités) et ne laisser que les rondelles, jusqu'à atteindre la position finale.
Remontage :
12- positionner l'axe du tambour le plus enfoncé possible et le plus centré possible. J'ai trouvé une astuce, c'est de prendre un étai réglable (modèle léger) et de pousser légèrement, par la trappe avant, sur le fond du tambour (entourer l'étai d'un chiffon doux pour ne pas blesser l'intérieur du tambour) en prenant appui sur un "obstacle" situé en face.
13- présenter le joint à lèvres sur l'axe après l'avoir bien graissé à la graisse silicone.
14- présenter le croisillon, après avoir vérifié que les tampons caoutchouc antivibrations ne sont pas partis (2 cavaliers plats et un bouchon cylindrique). Serrer progressivement le croisillon contre la paroi arrière. Présenter les 3 vis de 10 mais avant de les serrer à fond, enlever l'étai et vérifier par l'intérieur de la cuve que le tambour tourne très librement (il faut impérativement que le joint à lèvres se mette en place). Vérifier que la petite durite qui monte de la cuve au pressostat passe au niveau de la petite cavité du croisillon, qu'elle n'est pas comprimée, et que la bague de mousse qui la protège du frottement contre le châssis est en place.
15- serrer les vis de 10. Puis positionner le croisillon par rapport aux 3 fixations extérieures, et remettre les 3 vis de 13 (en mettant un peu de frein filet sur les vis).
16- replacer le moteur. Avant, j'en ai profité pour le nettoyer (soufflette) et changer les charbons. Ça se fait facilement sans même démonter le câblage. Pour info, les charbons neufs mesurent 35mm, si les charbons font autour de 10à 15 mm il est temps de les changer. Puis mettre les vis du moteur et, la courroie, l'attache des fils. Régler la tension et bloquer le moteur.
Dès lors il est possible de faire un essai (un programme à 90° avec un litre de vinaigre, pendant qu'on y est, pour tout nettoyer avant de repartir). Vérifier qu'il n'y a pas de fuite. Pour vérifier que la courroie est assez tendue, il est bien de faire un cycle avec pleine charge.
Si tout est correct on peut finir de remonter (traverse, panneau arrière)
Remarques :
Désolé, le mode d'emploi est un peu long ! Rien ne vaut une vidéo, mais je ne suis pas photogénique ; -) Bon courage aux aventuriers. Le seul point critique c'est la sortie et remise des roulements, et le bon positionnement du joint spi. Avec les petites astuces indiquées vous devriez réussir sans matériel spécifique.
Le matériel Bosch est très bien conçu et de grande qualité. Leurs concepteurs ont pensé à ceux qui dépannent ! C'est du plaisir d'intervenir là-dessus !
Pour les roulements, il y a le choix :
- soit approvisionner le kit ref 093907, soit 2 roulements + 1 bague à lèvres
- soit approvisionner une bague à lèvres seule avec la ref 068319 (32x52/78x8/14.8), et séparément, chez n'importe quel quincaillier, 1 roulement 6203Z et 1 roulement 6205-2Z
La 2ème solution est nettement moins chère. Les 3 vis livrées en plus dans le kit ne sont pas utiles, il suffit de remettre du frein filet.
J'ai adopté la 2ème solution : 48 € pour 2 roulements, joint spi et 2 charbons.
Dans mon cas les roulements d'origine étaient NSK 6203Z et SKF 6205-2Z. C'est en fait le joint spi qui s'est usé, et l'eau, passant dans le roulement intérieur, commençait à le tuer.
Voici les photos :
Pour agrandir les images, cliquez dessus.

Pour info : le site Bosch où vous trouverez la vue éclatée et le prix des pièces détachées en ligne : taper la référence WFF1200/12 (ou autre) dans la fenêtre de recherche en haut à droite.
bosch-eshop.com
Cordialement.

Bonjour Marie,
Justement, pour le budget, je vous incitais à le faire vous-même ; -)
Quant au soleil... prudence ! je crois que ça craint même si c'est à l'ombre. Je ne suis pas chimiste, mais je pense que c'est un phénomène de photosynthèse. Il faudrait que vos cuves soient complètement abritées de la lumière, sinon vous allez vite cueillir de la verdure pour vos plats d'épinards.

Bonjour,
Je suppose que vos fibros sont amiantés sinon vous ne les enlèveriez pas ?
Dans le forum "toitures", à partir du mot "amiante", vous trouverez des éléments intéressants.
La législation fluctue encore dans ses applications locales. Vous pourriez faire une recherche concrète pour la région qui vous concerne en procédant de 2 manières :
- un appel à la CCI la plus proche (chambre de commerce et d'industrie) où vous pourrez être renseigné et obtenir les coordonnées de sociétés locales qui font cette opération (demandez le service environnement, s'il existe).
- un appel aux déchetteries locales, comme le suggère Marie. Prenez les pages jaunes. Les déchetteries vous diront ce qui se fait, pourront vous indiquer également des sociétés d'enlèvement. Mais prudence, pour 200 M2 et probablement dans les 8T de fibro, faites jouer la concurrence, car "l'écologie" est un créneau porteur dans lequel certains s'engouffrent sans vergogne ; -)

Bonjour,
A ma connaissance, l'alliage à base de plomb pour brasure tendre existe sous forme de pâte (micro-billes de métal + liant) dans les applications pour microélectronique et pour composants à montage de surface (CMS). Mais ce serait du gâchis de l'utiliser pour votre application.
Je pense, comme b54 et JM, que vous confondez peut-être avec la pâte décapante... qui n'est qu'un décapant et ne brase pas à elle seule.
Bonne année à tous.

Bonjour Marie,
Je vois que vous vous battez sur tous les fronts !
- En plein air, oui, si vous pouvez le protéger complètement de la lumière (sauf si vous avez un filon pour revendre les algues !)
- Non isolé, oui, si vous mettez un robinet de vidange (et l'écoulement qui va avec) en point bas.
Je vous pousse au vice : Pourquoi vous ne le faites pas ? C'est moins compliqué que beaucoup de choses que vous avez faites ; -) Mais c'est vrai qu'on ne peut pas être à la fois au four et au moulin !
Cordialement.

Bonjour,
L'internaute (4) en question 1629 a également donné une astuce intéressante pour le maintien de la laine de verre.

Bonjour,
Pour une partie de vos questions, vous pourriez regarder la question 1239 du forum toitures.
Pour le contreplaqué sous le BA13, je ne comprends pas l'intérêt ? Pouvez-vous expliquer ?

Bonjour,
Je me demande s'il ne faudrait pas déjà décaper toute cette végétation qui est un réservoir d'humidité, pour retrouver un dallage propre.
Ensuite vous pourrez voir si des fissures y sont apparues.
Et refaire ce que vous appelez les "protections" là où elles sont détériorées.

Bonjour,
A mon avis, le percer ne suffirait pas, et ne servira donc pas à grand chose sinon à laisser rentre de l'air froid et humide en hiver, et à diminuer l'intérêt de votre pare-pluie. Les écrans pare-pluie perméables à la vapeur sont perméables sur toute leur surface.
Il faudra donc, lorsque vous ferez l'isolation de vos combles, mettre un pare-vapeur très soigné (côté chaud) pour que la vapeur d'eau ne monte pas. Et en complément, faire en sorte que les pièces de vos combles soient très bien ventilées, surtout si vous avez des pièces d'eau.
Ceci étant dit, ces précautions étant prises, pour savoir s'il y aurait intérêt ou non à ventiler l'espace entre isolant et sous-toiture (qui sera donc étanche dans votre cas), c'est très controversé. Personnellement je ne le pense pas, et j'ai des exemples concrets, avec un recul de 30 ans, qui vont dans ce sens.
Mais pour vous faire une idée personnelle, je vous propose de vous reporter à plusieurs questions précédentes où j'ai posé cette problématique, en citant une étude très intéressante d'Énergie Wallone : questions 1153 et 1193 entre autres.
Cordialement.

Bonjour,
Mon fils a eu le même souci dans son studio de location.
En attendant l'arrivée du SAMU (humour noir, parce-que dans le cas de figure où vous êtes, on est très mal !) la seule chose qui nous a sauvés, c'est une super pompe ventouse modèle professionnel (trouvée dans mon cas à Casto) = Rothenberg (Ropump super).
Ça vaut de 50€ à 100€ mais c'est d'une efficacité redoutable. Il faut pomper énergiquement, en alternant de fortes poussées et un arrachement énergique, pour déstabiliser le bouchon.
Dans mon cas, ça marchait pour 3 ou 4 jours, puis il fallait refaire.
La régie a été longue à intervenir, ça a trainé 1 mois ! car ça se passait dans des sous-sols dont les propriétaires étaient partis ! Il vous faut donc vraiment insister auprès de la régie sur l'urgence et sur le fait que ce n'est pas chez vous qu'il y a le bouchon, mais sur la colonne commune.
Par rapport à l'idée de SB (cordial bonjour au passage, et bonne année !) c'est efficace, mais dans ce cas précis je ne vous conseille pas trop, car pendant le laps de temps où la cuvette est démontée, si les voisins utilisent leurs écoulements, tout va remonter chez vous, et... il n'y a plus la réserve de votre cuvette ; -) Alors que la GROSSE ventouse s'utilise sans démontage.
Prévenez aussi vos voisins en amont. S'ils sont compréhensifs, ils pourront minimiser leurs utilisations (mais ça ne se commande pas ; -)
Bon courage !

Bonjour,
Aucune si vous avez un siphon ou une bonde avec des parties métalliques.
Avez-vous regardé plus bas les nombreuses questions qui traitent de ce sujet ? Les produits hautement corrosifs ne viennent qu'en dernier (et si possible jamais) après avoir essayé les moyens mécaniques (ventouse, démontage de siphon, furet... dans l'ordre décroissant de mes préférences).
Ensuite un petit entretien périodique pas cher (bicarbonate de soude + vinaigre blanc).
Bonne année, et bonne chance pour votre dépannage.

Complément à ma réponse : je n'avais pas fait attention au fait que vous êtes locataire. Ce qui change tout.
Les modifications que j'évoque pour rendre votre mur respirant sont du ressort du propriétaire.
Dans votre cas, il faudrait essayer déjà de rendre la ventilation/aération de cette pièce très efficace. A mon avis aucun revêtement "léger" ne résoudra ce problème (c'est une compresse sur une jambe de bois !).

Bonjour,
Le salpêtre est la réaction d'un matériau qui ne gère pas l'humidité (le mortier de ciment par exemple).
Dès lors, il ne faudrait pas "augmenter l'étanchéité", mais faire respirer cet ensemble.
En quel matériau sont constitués vos murs ? (le corps du mur, et les revêtements ou enduits de chaque côté).

Si c'est sans lame d'air... et sans air, il ne devrait pas y avoir de condensation, ça devrait gazer !
Bon réveillon, meilleurs vœux !

Bonjour Julien,
ça progresse ; -)
Si vous reprenez ma réponse (1) vous n'êtes pas loin de démonter la pompe.
Il vous sera facile de faire apparaitre la petite "turbine" à ailettes qui pousse l'eau.
Vérifiez si elle tourne librement (parfois il y a de la fibre qui se glisse dans l'axe et le freine, et c'est galère à l'enlever = avec une pince à épiler en faisant tourner l'axe à l'envers).
Si elle tourne librement, envoyez lui du 230V su les cosses (avec une rallonge électrique et une bidouille de cosses d'adaptation). Prudence, les urgences sont saturées, le 31 décembre !
Si elle ne tourne pas, il suffit d'en commander vite une autre.
A suivre. Cordialement.

Merci, Jean-Paul, et internaute (1).
Bonne année à tous.

Bonsoir Julien,
... et pour voir la tête qu'elle a, vous tapez simplement dans Google ou autre moteur internet, "pompe Whirlpool AWG 010", vous allez être orienté vers les sites de vente en ligne, qui donnent la photo de cet article, le prix et le délai. Bon dépannage !

Bonjour,
Est-ce que l'eau remonte vraiment dans cette cave ?
Déjà, je n'y ferais pas un sol en béton.

Bonjour,
Si vous disposiez de plus de hauteur, vous pourriez faire ceci (copié collé d'une réponse que j'ai déjà donnée plus bas):
Faire un plancher flottant sur une surface de fermacell "sol" (gypse-cellulose).
Ce Fermacell a des épaulements qui permettent de faire se chevaucher les plaques, qui sont donc collées entre elles (fermacell propose des vis qui garantissent le maintien pendant le collage). L'ensemble forme donc, sur un lit "flottant" de granulés d'égalisation, un ensemble flottant, mais monobloc (bien prévoir en périphérie la petite bande de joint). Ce fermacell sol est le seul compatible pour pose de plancher ou de carrelage, les modèles non rainurés (pour cloisons) ne conviendraient pas.
Il faut au total : 20 mm mini de granulés + 20 mm de plaques + 5 à 8 mm de laine de bois ou autre couche résiliente + l'épaisseur de votre parquet.
Cordialement.

Bonjour,
De quelle épaisseur disposez-vous et quel aspect voulez-vous obtenir ?
Pourquoi pas un enduit isolant chaux/chanvre ?

Bonjour,
Dans quel but ?
Tout dépend du tubage, je mettrais plutôt de la vermiculite.

Bonjour,
J'ai toujours du mal à me représenter votre aménagement, j'ai dû abuser pendant les fêtes ; -)
Je récapitule, vous me dites si j'ai bien compris :
- votre isolation laine de verre et papier kraft est au plafond du rez de chaussée
- Le plancher de votre étage est en agglo hydrofugé
- le plafond de cet étage est en PVC (ce que vous appelez "sous-toiture")
- au dessus, vous avez un écran pare-pluie en papier bitumé.
Si c'est ça, dans la configuration actuelle votre étage n'est pas isolé, son plafond est étanche à la vapeur. Il est normal que vous ayez ces condensations et ce givre.
Je ne suis pas certain que des aérations dans ce PVC et dans le papier bitumé suffisent. En même temps, c'est certainement difficile de démonter tout ça. Il faudrait déjà faire, au dessous (c'est à dire au plafond des combles), une isolation qui comporte un pare-vapeur efficace du côté chaud, ET une ventilation efficace de ces combles puisqu'ils seront habités.
Cordialement.

Bonjour BG,
Ne quittez pas ! si vous me laissez le temps des fêtes, je contacterai un expert qui me donnera quelques tuyaux... Il ne donnera pas tout, car justement c'est son gagne pain, ce qui fait la différence entre les bonnes et les mauvaises installations ; -)
Bonnes fêtes à vous aussi. ça se passera bien, les surchauffes sont plutôt au niveau... gastronomique en ce moment ; -) Cordialement.

Bonjour,
En fait, 6mm contre une dalle en béton, c'est trop peu. En plus, mises bout à bout, et probablement pas collées de manière tout à fait étanche, elles laissent passer la vapeur d'eau.
Je comprends votre peur du "pare vapeur parfait", mais en réalité dans la situation actuelle, c'est déjà ce qui se passe : probablement accumulation de condensation, gel, dégel... En plus, votre poutre centrale, elle est en béton ? Si oui, c'est un parfait pont thermique.
A mon avis, si vous n'êtes pas limité en hauteur à quelques cm, il faudrait améliorer cette isolation, et y inclure la poutre. Pour rester dans votre style d'isolant "étanche" (dans votre cas, il est imparfaitement étanche, et insuffisant en épaisseur, mais dans le principe, il est imperméable à la vapeur): vous pourriez par exemple mettre du polystyrène extrudé, en plaques rainurées, au minimum 8cm. Et dans ce cas, jointer toute la périphérie avec par exemple de la mousse expansive de polyuréthane (bombe)... et il faudra quand même une super ventilation dans votre pièce.
Si vous ne voulez pas bloquer l'accumulation, vous pouvez remplacer tout votre système de polystyrène par des dalles de liège, ou des panneaux de fibre de bois. ça respirera, rien ne s'accumulera. Sauf que... vous avez du béton froid (et étanche à la vapeur) au dessus... et il faudra quand même une super ventilation dans votre pièce (bis).
Cordialement.