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Membre inscrit GillesWeber

a posté 56 messages sur les forums BricoVidéo :
Bonjour,
Les sols extérieurs sont soumis à des sollicitations importantes dues aux conditions climatiques telles que ruissellement des eaux de pluie.
L’eau peut s’infiltrer et stagner sous le plan carrelé.
Ces contraintes peuvent aboutir à des décollements dont la fréquence peut encore être amplifiée par l’absence de pente.
Les fortes variations de température peuvent entraîner des contraintes mécaniques importantes (cycles gel-dégel, dilatation des carreaux en cas de températures élevées).
Par conséquent, il convient que le support ait une pente de 1.5 % minimum (tournée dans le bon sens pour que l’eau s’écoule vers l’extérieur).
L’application d’un mortier d’imperméabilisation évite que le support ne se gorge d’eau pluviale et réduit les phénomènes de calcite (remontées blanches).
Le plan carrelé sèchera aussi plus vite et le mortier colle résistera ainsi mieux aux cycles de gel-dégel.
Le support doit être stable, cohésif. Il conviendra d’éliminer au nettoyeur haute pression la laitance de ciment, les traces de graisse et de salissures pour optimiser l’adhérence des carreaux. Il est exact que la limite de fractionnement se situe à 40 m² et tous les 8 m linéaires au maximum.
Si vous réalisez des joints de fractionnement, il conviendra de les respecter (soit ne pas les recouvrir de carrelage).
Ce dernier devra être adapté à un usage extérieur (non gélif entre autres).
Mortier colle et mortier de jointoiement devront être adaptés à un usage extérieur (respectivement bonnes caractéristiques d’adhérence et absorption des variations dimensionnelles des carreaux). Un double encollage est obligatoire, c’est-à-dire mortier colle sur le support et à l’envers du carreau.
Un joint mastic doit être créé à la liaison mur-sol et ceci afin d’absorber les variations dimensionnelles.
Les 5 cm que vous évoquez sont-ils dus à une différence de hauteur à rattraper ou à une mise en œuvre dont vous avez entendu parler ?
Vous voilà je l’espère mieux armé pour réussir la pose de votre carrelage sur votre terrasse béton et en profiter ainsi pleinement avec les beaux jours qui vont bien finir par arriver !
Les sols extérieurs sont soumis à des sollicitations importantes dues aux conditions climatiques telles que ruissellement des eaux de pluie.
L’eau peut s’infiltrer et stagner sous le plan carrelé.
Ces contraintes peuvent aboutir à des décollements dont la fréquence peut encore être amplifiée par l’absence de pente.
Les fortes variations de température peuvent entraîner des contraintes mécaniques importantes (cycles gel-dégel, dilatation des carreaux en cas de températures élevées).
Par conséquent, il convient que le support ait une pente de 1.5 % minimum (tournée dans le bon sens pour que l’eau s’écoule vers l’extérieur).
L’application d’un mortier d’imperméabilisation évite que le support ne se gorge d’eau pluviale et réduit les phénomènes de calcite (remontées blanches).
Le plan carrelé sèchera aussi plus vite et le mortier colle résistera ainsi mieux aux cycles de gel-dégel.
Le support doit être stable, cohésif. Il conviendra d’éliminer au nettoyeur haute pression la laitance de ciment, les traces de graisse et de salissures pour optimiser l’adhérence des carreaux. Il est exact que la limite de fractionnement se situe à 40 m² et tous les 8 m linéaires au maximum.
Si vous réalisez des joints de fractionnement, il conviendra de les respecter (soit ne pas les recouvrir de carrelage).
Ce dernier devra être adapté à un usage extérieur (non gélif entre autres).
Mortier colle et mortier de jointoiement devront être adaptés à un usage extérieur (respectivement bonnes caractéristiques d’adhérence et absorption des variations dimensionnelles des carreaux). Un double encollage est obligatoire, c’est-à-dire mortier colle sur le support et à l’envers du carreau.
Un joint mastic doit être créé à la liaison mur-sol et ceci afin d’absorber les variations dimensionnelles.
Les 5 cm que vous évoquez sont-ils dus à une différence de hauteur à rattraper ou à une mise en œuvre dont vous avez entendu parler ?
Vous voilà je l’espère mieux armé pour réussir la pose de votre carrelage sur votre terrasse béton et en profiter ainsi pleinement avec les beaux jours qui vont bien finir par arriver !
07 mai 2015 à 15:47

Bonjour Elrick,
Selon le type de ragréage choisi, il est possible (ou pas) d’appliquer une couche protectrice sur ce dernier (vernis ou cire).
Si vous avez acheté l’enduit de ragréage, rapprochez-vous du fabricant pour savoir ce qu’il préconise.
Si l’achat n’est pas encore réalisé, choisissez le produit (vernis ou cire) adapté selon l’utilisation des locaux.
L’application de cette couche nécessitera un support cohésif, plan, sec, propre, les poussières aspirées (pas de balayage à l’effet incertain et insuffisant).
Selon l’intensité de l’usage, le produit appliqué, cette couche superficielle sera peut-être à renouveler dans le temps.
Selon le type de ragréage choisi, il est possible (ou pas) d’appliquer une couche protectrice sur ce dernier (vernis ou cire).
Si vous avez acheté l’enduit de ragréage, rapprochez-vous du fabricant pour savoir ce qu’il préconise.
Si l’achat n’est pas encore réalisé, choisissez le produit (vernis ou cire) adapté selon l’utilisation des locaux.
L’application de cette couche nécessitera un support cohésif, plan, sec, propre, les poussières aspirées (pas de balayage à l’effet incertain et insuffisant).
Selon l’intensité de l’usage, le produit appliqué, cette couche superficielle sera peut-être à renouveler dans le temps.
20 avril 2015 à 08:51

Bonjour skiwie,
Devez-vous créer cette pente, la suivre ou la reprendre pour revenir à un support horizontal ?
De quelle épaisseur prévoyez-vous ce ragréage ?
Seul un mortier de ragréage bien spécifique et adapté à votre chantier vous permettra de réaliser ce que vous souhaitez.
La consommation est indiquée par les fabricants sur les sacs.
Elle est par exemple de 1.6 kg/m²/mm d’épaisseur pour du weber.floor 4040 qui, selon vos réponses aux questions posées, pourrait peut-être convenir à votre chantier.
Il faut donc déterminer avant tout le produit adapté et sortir ensuite votre calculette !
Devez-vous créer cette pente, la suivre ou la reprendre pour revenir à un support horizontal ?
De quelle épaisseur prévoyez-vous ce ragréage ?
Seul un mortier de ragréage bien spécifique et adapté à votre chantier vous permettra de réaliser ce que vous souhaitez.
La consommation est indiquée par les fabricants sur les sacs.
Elle est par exemple de 1.6 kg/m²/mm d’épaisseur pour du weber.floor 4040 qui, selon vos réponses aux questions posées, pourrait peut-être convenir à votre chantier.
Il faut donc déterminer avant tout le produit adapté et sortir ensuite votre calculette !
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10 décembre 2014 à 15:36

Bonjour Dyad,
A un mot près cette solution s’appliquait : http://www.weber.fr/preparation-et-finition-des-sols/solution/solutions-chantiers/la-pose-dun-nouveau-revetement-de-sol-sur-lancien.html
Mais le mot « amiante » change tout !
Il n’y a pas d’autre solution que de contacter une entreprise spécialisée dans le traitement de l’amiante, pas de ponçage ni élimination par vos soins que ce soit avec des dalles amiantées ou des colles à base d’amiante.
Bien cordialement.
A un mot près cette solution s’appliquait : http://www.weber.fr/preparation-et-finition-des-sols/solution/solutions-chantiers/la-pose-dun-nouveau-revetement-de-sol-sur-lancien.html
Mais le mot « amiante » change tout !
Il n’y a pas d’autre solution que de contacter une entreprise spécialisée dans le traitement de l’amiante, pas de ponçage ni élimination par vos soins que ce soit avec des dalles amiantées ou des colles à base d’amiante.
Bien cordialement.
19 novembre 2014 à 08:36
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Bonjour fredb27,
N’y a-t-il pas confusion d’appellation entre les joints de dilatation et les joints de fractionnement ?
Les joints de fractionnement concernent les chapes (cf DTU 26.2) mais qui ne sont pas visées en sols extérieurs.
Le joint de dilatation est sur toute l’épaisseur de la dalle, ferraillage compris et il n’est pas facile d’en créer de nouveau par conséquent (cela impliquerait de scier la ferraille).
Quoi qu’il en soit, il est impératif de respecter les joints de toute nature (même si on en crée de nouveaux) lors de la pose du carrelage au risque de voir apparaître des désordres (fissuration du carrelage).
Désolé de ne pas proposer de solution miracle pour remédier à votre problème.
Un ou deux conseils par contre pour favoriser la pose de ce carrelage :
- Utiliser un mortier-colle adapté à l’extérieur et bien suivre les préconisations d’utilisation figurant sur l’emballage.
- Ne pas oublier de faire une pente minimum de 1.5 % tournée vers l’extérieur….
On a déjà vu le contraire et on le verra encore hélas !
N’hésitez pas si vous avez besoin. ^^
N’y a-t-il pas confusion d’appellation entre les joints de dilatation et les joints de fractionnement ?
Les joints de fractionnement concernent les chapes (cf DTU 26.2) mais qui ne sont pas visées en sols extérieurs.
Le joint de dilatation est sur toute l’épaisseur de la dalle, ferraillage compris et il n’est pas facile d’en créer de nouveau par conséquent (cela impliquerait de scier la ferraille).
Quoi qu’il en soit, il est impératif de respecter les joints de toute nature (même si on en crée de nouveaux) lors de la pose du carrelage au risque de voir apparaître des désordres (fissuration du carrelage).
Désolé de ne pas proposer de solution miracle pour remédier à votre problème.
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Un ou deux conseils par contre pour favoriser la pose de ce carrelage :
- Utiliser un mortier-colle adapté à l’extérieur et bien suivre les préconisations d’utilisation figurant sur l’emballage.
- Ne pas oublier de faire une pente minimum de 1.5 % tournée vers l’extérieur….
On a déjà vu le contraire et on le verra encore hélas !
N’hésitez pas si vous avez besoin. ^^
08 septembre 2014 à 17:28
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Bonjour,
Quand vous parlez de colle PF3, de mes souvenirs, ce produit est une colle à base de plâtre, pour monter des carreaux, oui, mais de plâtre !… et qui ne me semble pas adaptée dans le cas présent.
Pour s’assurer une solution durable, il faut utiliser, en fonction du local, du support et du carreau, le bon produit !
En fonction de ces différents critères, cela va déterminer le type de colle à utiliser.
Vous ne précisez pas si vous êtes en mur ou en sol, la nature de la paroi/chape où les carreaux viendront s’appliquer, la nature des carreaux (type, taille, poids au m² si vertical, etc.). Il est bien évident que le fait d’être dans une salle de bain va restreindre votre éventail de choix de colles et compte tenu de l’humidité et des risques liés à l’eau (étanchéité), la sélection n’est pas à faire à la légère.
Pour résumer et ne pas risquer de faire le travail deux fois... choisir le bon produit est essentiel !
Quand vous parlez de colle PF3, de mes souvenirs, ce produit est une colle à base de plâtre, pour monter des carreaux, oui, mais de plâtre !… et qui ne me semble pas adaptée dans le cas présent.
Pour s’assurer une solution durable, il faut utiliser, en fonction du local, du support et du carreau, le bon produit !
En fonction de ces différents critères, cela va déterminer le type de colle à utiliser.
Vous ne précisez pas si vous êtes en mur ou en sol, la nature de la paroi/chape où les carreaux viendront s’appliquer, la nature des carreaux (type, taille, poids au m² si vertical, etc.). Il est bien évident que le fait d’être dans une salle de bain va restreindre votre éventail de choix de colles et compte tenu de l’humidité et des risques liés à l’eau (étanchéité), la sélection n’est pas à faire à la légère.
Pour résumer et ne pas risquer de faire le travail deux fois... choisir le bon produit est essentiel !
07 juillet 2014 à 15:06
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